Des start-up comme Nima, DietSensor ou encore TellSpec fabriquent ces objets connectés capables de détecter les pesticides, les allergènes ou d’évaluer la fraîcheur des aliments.
Préparer la tambouille épaulé par une brigade d’objets connectés culinaires n’est plus considéré comme absurde par nombre de consommateurs. En France, plus d’une personne sur deux considère que les scanners alimentaires permettant de détecter les pesticides, les allergènes ou d’évaluer la fraîcheur des aliments sont utiles voire très utiles, comme le montre l’infographie ci-dessous, tirée de l’étude « Le commerce alimentaire sur Internet » publié le 28 février par CCM Benchmark Institut (groupe CCM Benchmark, éditeur JDN).